Pour faciliter l’articulation vie professionnelle – vie privée de ses salariés et améliorer leur qualité de vie, Jean-Michel Schwint, fondateur d’AC Automation en 1996 avait choisi dès le départ de mettre place une souplesse dans les horaires, formalisée par une convention. Les arrivées sont possibles entre 7 heures et 8 h 30, la pause déjeuner peut se prendre entre 11 h 30 et 14 heures, et le départ à partir de 16 heures.
« Ce n’est pas très facile à gérer mais notre organisation en postes autonomes le permet » précise le dirigeant.
Cela participe aussi à fidéliser le personnel pour cette entreprise industrielle du Haut-Doubs située à moins d’une demi-heure de la frontière et forcément confrontée à la concurrence suisse et à ses salaires très attractifs. « Notre métier nécessite de l’expérience, nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir un trop fort turn-over », explique Jean-Michel Schwint.
Au début des années 2000, pour améliorer encore les conditions de travail, le chef d’entreprise a également mis en place une mutuelle de groupe puis, un peu plus tard, un plan épargne retraite que la société abonde jusqu’à 300 %. Un dialogue s’est instauré autour de l’organisation du travail. Un climat de confiance réciproque réside à présent.
MOTS CLES : 2013, ENTREPRISE, FONCTIONNEMENT, PRATIQUES, ARTICULATION DES TEMPS, COMPÉTENCES, DIALOGUE SOCIAL, MANAGEMENT
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